Les blasons des villes et villages des environs de Villejust

Mise à jour le 9 mai 2002
ARPAJON
BALLAINVILLIERS
CHAMPLAN
ILE DE FRANCE
LA VILLE DU BOIS
LES ULIS
LONGJUMEAU
MARCOUSSIS
MONTLHERY
NOZAY
ORSAY
PALAISEAU
SAULX LES CHARTREUX
SAINT-JEAN DE BEAUREGARD
VILLEBON
VILLEJUST


VILLEBON

" D’argent au chevron de sable accompagné,en chef, de deux taons et en pointe un mortier,le tout de même "

Explication du blason

le chevron   La rivière l’Yvette.
les taons     En vieux français ‘les thous". La famille de Thou, l’une des plus célèbres familles du XVIème siècle, donna à Villebon son personnage le plus illustre.
le mortier   Mortier des saints Côme et Damien, patrons des apothicaires puis des médecins et de la paroisse de Villebon.

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VILLEJUST

" De gueules à la porte de ville ouverte d’or,issante de la pointe de l’écu, à une épée haute d’argentgarnie d’or, posée en pal sur le tout".

Explication du blason

de gueules       Sur fond rouge.
issante             Sortant à demi.
épée haute       Pointe en l’air.
en pal              Au milieu de l’écu.

Il représente la porte d’une Ville fortifiée (allusion à Fretay) protégée par une épée symbole de justice.
Ce sont des armes parlantes qu’il suffit de lire pour retrouver notre Ville Juste.

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CHAMPLAN

"De gueules à croix d’argent chargées de cinq coquilles de sables. Ecu surmonté d’un casque à lambrequin avec deux génies ailés en soutien"

Explication du blason

Le casque fermé indique un anoblissement récent. Il s’agit des armoiries de Claude de Harville, Seigneur de Champlan (1597). Elles sont visibles sur le clocher de l’église.

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BALLAINVILLIERS

"D’azur, à la gerbe d’or, soutenue d’un croissant d’argent,au chef de gueules chargé de trois étoiles d’argent".

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Note de l’auteur
Les blasons et informations ci dessous provienent du site internet La banque du blason


ORSAY

« D'azur à la fasce d'or accompagnée en chef d'un croissant accosté de deux étoiles et en pointe d'un poisson, le tout d'argent »

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LES ULIS

« D'azur à la barre d'or, chargée en chef d'un besant cousu d'argent, en coeur d'un tourteau d'azur et en pointe d'un besant en ombre d'or, accompagnée en chef de trois tours modernes accolées et issantes de tailles décroissantes, celle de dextre en ombre d'azur, celle du centre d'or et celle de senestre d'argent, et en pointe d'un brasier d'or sommé d'un épi de blé du même posé en barre et chargé du nom des ULIS en lettres capitales d'argent »

Explication du blason

Les pièces de trois couleurs rappellent les races coexistant dans la ville. Les trois tours sont une reprise contemporaine des tours crénelées du Moyen âge, symbole des Ulis. Le brasier et l'épi de blé évoquent l'origine du nom des Ulis qui viendrait des défrichements par le feu (brûlis) à l'époque romaine et au Moyen âge. La barre marque l'équilibre entre la ville d'hier et celle d'aujourd'hui.

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PALAISEAU

« Bandé d'or et de gueules de six pièces, au chef de sable chargé à dextre d'un lion léopardé d'or »

Explication du blason

Palaiseau doit son nom à un petit palais -palatiolum- qu'habitèrent Childebert Ier, fils de Clovis, et ses successeurs. Le 25 juillet 754, Pépin le Bref donna le domaine à la puissante abbaye de Saint Germain. Le blason de la ville est adapté du sceau de Ferry de Palaiseau datant du 13e siècle. Érigé en marquisat au 18e siècle, Palaiseau appartenait à la Révolution aux Arnauld de Pomponne. C'est la ville natale de Joseph Bara, héros de la République et célébré par le Chant du départ. Laigniez et d'Aubigny y écrivirent l'aventure de "la pie voleuse" ou "la servante de Palaiseau", naïve histoire mise en mélodrame par Pixérécourt et en musique par Rossini. L'École Polytechnique a quitté la rue Descartes à Paris pour s'y installer en 1976 dans des bâtiments construits par Henry Pottier.

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MONTLHERY

« d'or à la croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur »

Explication du blason

Le blason de Montlhéry est aux armes anciennes de la maison de Montmorency. Les alérions sont de petites aigles représentées sans bec ni pattes. La tour de Montlhéry est le donjon d'un château fondé au début du 11e siècle par Thibaud Fil d'Étoupe, fils cadet de Bouchard Ier, premier baron de Montmorency.

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LONGJUMEAU

« D'argent semé de trèfles de gueules, aux deux taus du même rangés en chef et aux deux papegais affrontés de sinople en pointe »

Explication du blason

Ce blason est aux armes de la famille Gaillard de Longjumeau.

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ARPAJON

« écartelé : au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or et à la bordure du même, au deuxième et au troisième de gueules à la harpe d'or »

Explication du blason

Ce blason est un rappel des armes de Chastres (nom de la ville jusqu'en 1720) et de celles des marquis d'Arpajon. Ces armes sont parlantes par la harpe.

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IILE DE FRANCE

« D'azur aux trois fleurs de lys d'or »

Explication du blason

Le lys, emblème des personnages royaux préhéraldiques, fut porté sur le blason des rois capétiens, sous forme de semé, à partir de Louis VII le Jeune au 12e siècle. Le nombre des lys fut définitivement fixé à trois "en signe de la benoîte trinité" par Charles V le Sage en 1376. La France ancienne ou pays de France fut le premier centre politique du royaume. Bien que le terme d'Île de France soit apparu au début du 14e siècle, la province ne fut formée qu'après la guerre de Cent ans au milieu du 15e siècle. Elle comprenait alors le pays de France, le Parisis, la Goële, la Brie française, le Gâtinais, le Hurepoix, le Pincerais, le Mantois, le Vexin français, le pays de Thelle, le Noyonnais, le Soissonnais, le Sellentois, le Valois et le Laonnais.

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